J'étais frigorifiée et complètement trempée, mes vêtement collaient à ma peau. Les rayons lunaires n'arrivaient pas à traverser les nuages. Un lampadaire sur trois fonctionnait donnant à cette rue un sentiment d'insécurité constant.
N'étant pas d'une nature à prendre peur au moindre bruissement ou de la moindre personne ayant une apparence louche, cela ne me posa pas le moindre problème d'entrer dans ce bar miteux. Il était remplit d'homme plus sale les uns que les autres.
Mais je ne savais où je pourrais passer la nuit et c'est là qu'une idée de génie me traversa l'esprit. Certes cette idée aurait choquée plus de la moitié du Japon mais qu'importe.
Je me mis debout sur le bar et demandais d'une voix forte :
"Y aurait-il une âme charitable qui aurait la bonté de bien vouloir m'offrir l'hospitalité se soir ?"
J'avais marcher toute la journée sous une pluie battante, n'ayant pas d'endroit, ni d'argent pour avoir le courage d'entrer dans un café ou dans une boutique.
Ma question avait provoquée une déferlante d'hommes, plus émécher les uns que les autres, devant le bar. Tous me proposait de les suivre pour passer la nuit au sec et au chaud.
Je choisis donc un de ses homme et sortit du bar avec lui. Traversant la grande rue puis passant de ruelle en ruelle jusqu'à se qu'il s'arrête dans une ruelle beaucoup plus sombre que les précédantes et se tourne vers moi avec un grand sourire.
"Je ne vois aucune porte, où vivez vous ?"
Il ne me répondit pas et s'approcha de moi tel un prédateur voulant jouer avec sa proie avant de la tuée. Je poussa un crie lorsqu'il se mit à me touchée.